Nathalie Marquay a été la plus inquiète concernant la maladie son défunt époux. Elle était la personne la plus proche de Jean-Pierre Pernaut depuis 20 ans. Nathalie soutenait son mari dans tout ce qu’il faisait, dans le meilleur et dans le pire. Et pendant les dures années où Jean-Pierre Pernaut était malade, c’est elle qui a toujours été à ses côtés pour le soutenir dans son combat contre un maudit cancer. En décembre 2021, Nathalie Marquay évoque ses ressentis durant ce temps.
L’inquiétude de Nathalie Marquay
À l’âge de 71 ans, le journaliste de 13h sur TF1 a rendu son âme le 02 mars. Après de longs combats avec un cancer de poumons, Jean-Pierre Pernaut n’en pouvait plus. Le monde est en deuil face à cette tragédie. Quant à sa femme, elle parle de ce qu’elle a vécu avec son aimé pendant cette lutte. C’est sur les colonnes de PAM qu’elle évoque les sujets. Nathalie Marquay lance que malgré les activités qu’elle entreprenais pendant que son mari est malade, elle ne se sentait pas tranquille. Elle essayait toujours de sourire et de montrer du courage. Nathalie refusait de pleurer. Pour elle, il était hors de question de pleurer même si elle avait envie de le faire. Aussi, quand la mauvaise nouvelle leur a été annoncée, le couple a été dévasté. Jean-Pierre Pernaut était complètement bouleversé. Nathalie évoque qu’elle a toujours su comment lui remonter le moral même si elle-même supportait mal la situation.
PAM demande comment Nathalie Marquay tient le coup
Nathalie répond très franchement que c’est vraiment une grande charge émotionnelle à subir. Nathalie ne peut pas penser à elle. Elle évoque que, quand son mari se portera mieux, elle pourra enfin s’occuper d’elle. Jean-Pierre Pernaut fait énormément confiance à sa femme. Elle lui est d’un très grand soutien. Comme sur le fait qu’elle a contraint son mari à se faire opérer pour au moins enlevé un morceau de poumon avec la tumeur. Ce qui était une victoire. D’un autre côté, Nathalie Marquay veut cacher tout ça à la presse pour ne pas être envahie par les paparazzi avec tout ce qu’ils sont déjà en train de vivre.