Octomom : 13 ans plus tard, Nadya Suleman et ses 8 enfants sont méconnaissables…

Après 13 ans d’absence sur les réseaux sociaux, nous avons enfin obtenu des nouvelles de la personnalité Octomom. La rédaction de JFD vous en dit plus dans les prochaines lignes !

Nadya Suleman s’est fait connaître du public en donnant naissance à des octuplés. La mère de famille a vécu un véritable conte de fées qui a rapidement viré au drame.

Nadya Suleman au cœur des tourments

Sur les réseaux sociaux, Nadya Suleman s’est retrouvée dans l’obligation de prouver à plusieurs reprises qu’elle était apte à subvenir aux besoins de ses huit enfants. La mère de famille a même songé à reprendre le chemin des études pour l’aider à trouver un meilleur travail. Sa mère, Angela Suleman, a pourtant affirmé avoir cédé sa résidence et habiter avec sa fille pour la soutenir sur le plan financier. C’est alors que le drame commence.

Entre les reproches, les soucis financiers et la fatigue liée à la prise en main des enfants, Nadya s’est retrouvée dans l’obligation de tourner des films pour adultes pour pouvoir subvenir aux besoins de ses enfants. En parallèle, elle officiait dans des clubs de striptease. L’État de Californie l’a alors pointée du doigt pour fraudes aux allocations en omettant de déclarer plusieurs milliers de dollars générés par ces activités.

Qu’est-il advenu de la famille aujourd’hui ?

Nadya Suleman a traversé des épreuves difficiles qui l’ont plongé dans une forme de dépression sévère. « Je refusais de vivre, je ne me sentais plus humaine avec ce personnage que je jouais pour survivre. J’étais devenue dépendante à l’alcool et j’ai découvert le cocktail qui a conduit à la mort de Whitney Houston. J’étais choquée et je voulais me suicider. Mais je devais continuer à me battre pour mes enfants ».

Aujourd’hui, tout cela est derrière Nadya. La mère de famille a retrouvé la joie de vivre et elle a même décroché un bon travail. Elle n’hésite pas à partager son quotidien sur Instagram, pour le plus grand bonheur de ses abonnés. Dans les colonnes de New York Times, elle affirme que ses enfants se portent à merveille et qu’ils sont bien élevés. Elle préfère néanmoins les conserver à l’abri des médias pour les protéger.