Ces derniers temps, les bruits courent au sujet du pass énergétique. Allez-vous vraiment être surveillés à cause du dispositif Linky ? Le point à travers cet article !
Compte tenu de l’inflation et de la baisse du pouvoir d’achat, les Français font plus attention à leur consommation énergétique. À ce propos, le gouvernement sensibilise l’utilisation du compteur Linky. Mais les bruits courent selon lesquels ce dispositif surveille de près ses utilisateurs.
Compteur Linky : à quoi ça sert ?
Le compteur Linky est un outil révolutionnaire dans l’univers des compteurs électriques. Il permet entre autres de vérifier la consommation en temps réel. Les utilisateurs peuvent vérifier leur consommation en électricité en se rendant simplement sur le site web dédié. Tous les renseignements essentiels sont inscrits dessus et les informations sont mises à jour de manière automatique.
Le compteur Linky permet d’adapter les informations indiquées sur le site et de changer les habitudes de consommation en vue de limiter les dépenses en électricité. L’utilisateur peut également consommer durant les heures creuses suivant ses préférences. Ainsi, il bénéficie de l’avantage de payer à petit prix. En cas de consommation anormalement élevée, il est conseillé de procéder à des travaux de rénovation (isolation, chauffage, ventilation, etc.).
Le dispositif vert nous surveille-t-il réellement ?
Ces derniers temps, le pass énergétique ne cesse de créer le buzz. Selon les bruits qui courent, le gouvernement et l’Union européenne seraient en train de travailler sur des mesures visant à contraindre les Français à réduire leur consommation énergétique. Ce dispositif devrait être mis en place au cours de l’hiver prochain. Mais comment cela va-t-il se faire ?
Au mois de juillet dernier, Florian Philippot a assuré : « ça vient de tomber. L’UE réclame une diminution de la consommation de gaz de 15 % et souhaite des contraintes contre les pays membres… autrement, ils veulent mettre en place le pass énergétique. Il faudra désobéir collectivement ». Notons que le gouvernement a nié en bloc ces informations. L’UE estime néanmoins nécessaire de limiter de 15 % la consommation énergétique dans la mesure où la Russie cesse l’approvisionnement en raison de la crise ukrainienne.
