Difficile pour Patrick Fiori de rester indifférent aux attaques à l’encontre de l’un de ses talents dans « The Voice Kids ». Ce dernier souffre d’une maladie rare.
Le 27 août dernier, les inconditionnels de « The Voice Kids » font la connaissance d’un petit garçon de 11 ans répondant au prénom de Nahel. Ce dernier souffre de troubles de comportement. Ce qui a suscité de vives critiques sur les réseaux sociaux. De la méchanceté gratuite qui n’a pas laissé Patrick Fiori insensible !
Une maladie rare
À 11 ans, Nahel n’est pas un garçon comme les autres. Il dispose de son propre look vestimentaire, une manière de parler et une voix unique en son genre. Davantage d’atouts qui suscitent parfois la jalousie sur la Toile. Les détracteurs s’attaquent tout particulièrement à son apparence et à son comportement. Devant l’ampleur de ses critiques, les parents du jeune talent ont décidé de sortir du silence.
« Nahel utilise des mots que nous, on n’utilise pas. À cinq ans, il abordait déjà des sujets d’adulte. Il est passionné par la littérature et la politique », confient les parents du principal intéressé dans les colonnes de Télé Loisirs. Julie et son mari ont ensuite fait savoir que leur fils refusait qu’on parle de sa maladie à l’antenne. Le petit chérubin souffre en effet de dysharmonie, une pathologie qui fait que ses émotions sont décuplées.
Patrick Bruel prend la défense de son protégé
D’emblée, Patrick Fiori a réagi, à son tour, aux critiques virulentes des internautes. À l’occasion d’un entretien pour Télé Loisirs, le chanteur a confié : « J’ignorais qu’il était critiqué à ce point, car je ne suis pas très actif sur les réseaux. Un enfant ne mérite pas ça, encore moins s’il est malade… les enfants ont besoin d’amour, de tendresse. C’est mon rôle. S’en prendre à un enfant sur la Toile ou ailleurs, je trouve ça petit », s’est-il indigné.
Dans sa mise au point, le coach de « The Voice Kids » ajoute : « Les réseaux sociaux présentent des avantages, mais aussi des inconvénients puisqu’ils peuvent détruire les gens. Il y a un travail quotidien à réaliser sur les enfants ». Espérons que cela suffira à faire taire les mauvaises langues !