Pierre-Jean Chalençon a donné de ses nouvelles cette semaine en partageant une annonce particulièrement déchirante sur les réseaux sociaux. On vous dit tout !
Alors qu’il croule sous les dettes à cause du palais Vivienne, Pierre-Jean Chalençon a dû composer avec de sérieux dommages dans sa demeure favorite. L’ancien acheteur d’Affaire conclue a posté des photos des dégâts cette semaine sur les réseaux sociaux. Une situation dont se moquent visiblement ses abonnés…
Pierre-Jean Chalençon en galère
Au mois de juillet dernier, Pierre-Jean Chalençon annonce le cœur lourd la mort de l’un de ses plus fidèles amis. Après la perte de son père Gérard, le collectionneur de Napoléon a dû affronter le deuil de Michou et Régine à qui il a tenu à rendre un vibrant hommage sur la Toile. Mercredi dernier, l’ancien acheteur de France 2 a de nouveau fait parler de lui sur Twitter.
Dans son tweet, le meilleur ennemi de Caroline Margeridon annonce une triste nouvelle au sujet du palais Vivienne. En effet, cette impressionnante demeure, fondée en 1929 qui abrite l’ensemble de ses collections s’est retrouvé au cœur du bad buzz à la suite de l’affaire des dîners clandestins. Un scandale qui date du premier confinement. Aujourd’hui, la bâtisse fait l’objet d’une nouvelle fuite.
« Il y a eu une terrible fuite d’eau… Je suis dévasté »
Dans son annonce, Pierre-Jean Chalençon explique : « Il y a eu une terrible fuite d’eau… Je suis dévasté ». L’antiquaire poursuit : « Des décors datant du XVIIIe siècle ont été endommagés. Je demande votre soutien, car la culture c’est toute ma vie ». S’il espérait obtenir de la compassion venant de ses abonnés, le spécialiste de Napoléon n’a eu droit à aucune pitié dans les commentaires.
Dans la barre des réactions, on peut lire des messages d’indifférence comme : « Et alors !? Tu veux qu’on fasse une cagnotte. Quand on n’a pas un sou, on ne garde pas ce genre de bâtisse », « Pendant que certains se plient en quatre pour trouver à manger à la fin du mois, l’autre chiale pour un trou dans son mur » ou encore « On s’en fout ».