Une dame âgée qui s’est récemment rendue dans une station-service a payé 7 € le litre du gazole. Mais que s’est-il passé ? On vous raconte tout !
Alors que les panneaux lumineux indiquant des chiffres étranges, cette retraitée n’avait pas fait attention et s’est servie librement au sein de la station. La sexagénaire n’a pas réussi à mettre plus de 15l dans son réservoir.
Une retraitée prise au piège malgré elle
Alors que la pénurie de carburants frappe la France à la suite de la grève des employés de raffineries, le prix du carburant a, une nouvelle fois, explosé. Selon nos confrères de La Dépêche, une retraitée originaire de Toulouse s’est retrouvée dans l’obligation de débourser 7 € le litre à la pompe au cours du weekend dernier. Alors qu’elle arrive dans la station, elle remarque que les autres automobilistes quittent les lieux.
Plus tard, la dame âgée constate une inscription lui indiquant qu’il n’y a pas de ticket à distribuer en raison d’une panne informatique. De plus, le panneau lumineux affiche les chiffres 7777. La principale intéressée ne fait pourtant pas attention à ce message et s’approvisionne en essence.
Sur l’écran, il est affiché qu’elle ne peut pas mettre plus de 120 € de carburant dans son réservoir. Mais au bout d’une quinzaine de litres, la pompe donne ses dernières gouttes, comme si le réservoir de la voiture était plein. La propriétaire réalise plus tard qu’elle a atteint le seuil maximal des 120 €…
Elle débourse 7,77 € le litre de carburant
Comme elle a pris l’essence dans un distributeur automatique, la Toulousaine devait payer le montant affiché via sa carte bancaire. En gros, elle a déboursé 7,77 € le litre et la somme en question figure d’ailleurs sur son relevé bancaire. « J’étais dans tous mes états, cela m’a mis hors de moi », s’est-elle indignée. Les dirigeants de la station estiment toutefois qu’il ne s’agit aucunement d’une erreur.
Comme le souligne la victime : « Ils m’ont dit que c’était le tarif affiché et que je n’avais tout simplement pas à me servir ». Les automobilistes sont donc les seuls fautifs dans cette histoire. La direction précise également que la station n’était pas « ouverte ». Pourtant des conducteurs se sont approvisionnés sur place.
