Ce mardi, les bénéficiaires de la troisième vague de la prime exceptionnelle de rentrée seront servis. Ensuite, ce sera au tour des allocataires de la prime d’activité.
La prime exceptionnelle de rentrée profite cette année à plus de 11 millions de familles bénéficiaires d’allocations sociales. Voici les conditions d’éligibilité à ce précieux coup de pouce financier.
Les bénéficiaires de la prime d’activité sont les prochains servis
Au mois de septembre dernier, plusieurs foyers français ont touché la prime de 100 € avec une majoration supplémentaire de 50 € par enfant. Ces derniers ont éligibles aux APL par exemple. Au mois d’octobre, ce fut au tour des allocataires de l’ancien minimum vieillesse ou Aspa de profiter de cette prime. Aujourd’hui, les bénéficiaires de la prime d’activité auront droit à leur part du gâteau. Ils encaisseront 28 € avec 14 € supplémentaires par enfant à disposition.
Comment réclamer cette aide exceptionnelle ?
A partir du moment où vous êtes éligibles à la prime, tout se fait de manière automatique. Autrement dit, vous n’avez aucune procédure particulière à suivre. Les allocataires du mois de juin dernier par exemple n’ont rien à faire puisque la CAF se charge de leur virer automatiquement l’aide financière sur leur compte en banque.
Notons toutefois que la prime spéciale de rentrée n’est remise qu’une seule fois. Si vous l’avez déjà perçue, vous n’aurez plus droit aux 28 + 14 € par enfant à charge de ce 15 novembre. Pour être éligible à la prime exceptionnelle de rentrée, il faut impérativement toucher des allocations sociales comme le RSA, l’AAH, l’APL, l’ASS ou encore l’Aspa. Si vous n’avez encore rien reçu alors que vous êtes éligibles, il est recommandé d’envoyer un courriel à la CAF. Pensez également à vérifier que les données enregistrées au sein de l’agence sont à jour.
Pôle Emploi rappelle également qu’en cas de non réception de la prime à l’issue de la date de versement, il convient de transmettre un recours par courriel ou en contactant le 3949.