« Quand on commente un ouvrage que l’on n’a pas lu… » : Jacques Legros dézingue Nathalie Marquay !

A la suite du gros coup de gueule de Nathalie Marquay, Jacques Legros a décidé de mettre la veuve de Jean-Pierre Pernaut à sa place. On vous raconte tout !

A l’occasion d’une interview pour Soir Mag, Jacques Legros a régi à l’énorme coup de gueule poussé par Nathalie Marquay. Rappelons que la veuve de Jean-Pierre Pernaut a récemment haussé le ton contre le joker de son défunt mari sur Virgin Radio.

Le torchon brûle entre Jacques Legros et Nathalie Marquay !

Depuis le lancement de son ouvrage intitulé « Derrière l’écran, 40 ans au cœur des médias », l’ambiance est tendue entre Jacques Legros et les proches de JPP. En cause, des déclarations du journaliste de TF1 au sujet de l’ancien pape du 13h dont il était le joker. En s’en prenant à ce dernier, l’auteur a essuyé la colère de Nathalie Marquay. Cette-dernière n’a pas hésité à s’exprimer sur ces déclarations lors de ses échanges avec Guillaume Genton.

L’ancienne Miss France dénonce une « jalousie post-mortem ». Comme elle le souligne : « C’est irrespectueux envers notre famille en deuil et envers les téléspectateurs ». La mère de famille explique que Jacques Legros avait réalisé plusieurs « coups de p*te » à son mari lorsqu’il travaillait chez TF1. A ce propos, le principal accusé a réagi : « Elle est libre de dire ce qu’elle veut. Ce qui me dérange c’est qu’elle fait des commentaires au sujet d’un livre qu’elle n’a même pas pris soin de lire ».

La mise au point du journaliste

Dans les colonnes de Soir Mag, Jacques Legros explique : « Quelle mise au point peut-on réaliser lorsqu’on n’a pas lu un ouvrage sur lequel on donne son avis ? Cela n’en vaut même pas la peine que je l’appelle pour lui dire de lire le livre. Pour moi, ça va de soi. Il n’y a pas besoin d’en dire plus ».

« Jean-Pierre était l’ultime représentant d’un journalisme incarné. J’ai toujours traversé son bureau avec énormément de respect. C’est une obligation de vérité que je me devais de remplir. Personne n’est parfait et JPP ne l’était pas, pas plus que moi (…) », a-t-il conclu. Voilà qui a le mérite d’être clair !