Emmanuel Macron a récemment pris la parole dans un discours officiel pour annonce les nouvelles mesures en vigueur dans le cadre de la rentrée scolaire. On vous dit tout !
Dans le cadre de son discours à la Sorbonne, Emmanuel Macron a dénoncé les différentes failles au niveau du système éducatif français. Raison pour laquelle, des améliorations vont être apportées pour la prochaine rentrée. Quelles sont-elles ? Le point à travers cet article !
Rentrée scolaire : vers une augmentation du nombre de stages
Le Président de la République souhaite apporter des changements concernant l’enseignement en rallongeant le temps de stage d’au moins 50 %. Les étudiants qui réalisent leurs stages seront rétribués à leur juste valeur. Une initiative prise dans le but de « réprimer le lycée professionnel avec l’univers du travail ». Le chef d’État est également revenu sur l’inégalité frappante entre les stages pour lycées et ceux auxquels ont droit les apprentis.
Emmanuel Macron a également promis d’orienter les étudiants dès leur plus jeune âge pour les aider à faire le bon choix de carrière. Ainsi, les élèves de la classe de cinquième auront l’occasion d’explorer diverses professions dans le domaine technique, relationnel et manuel.
Le mari de Brigitte Macron a également annoncé le recrutement de plus d’enseignants maîtrisant le domaine professionnel. Ce qui permettra de préparer les élèves à intégrer la carrière professionnelle avant la fin de leur cursus.
Une augmentation de salaire pour les professeurs ?
Dans son allocution, Emmanuel Macron met la lumière sur la revalorisation du salaire pour les instituteurs d’ici la rentrée prochaine. Une nouvelle réjouissante pour les enseignants qui ont du mal à garder la tête hors de l’eau face à l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat. Notons que cette augmentation a été demandée il y a plusieurs mois par les syndicats.
En réponse à cette requête, le Président de la République a promis que la hausse des salaires sera belle et bien appliquée. Aucun professeur ne démarrera sa carrière en touchant moins de 2 000 € net par mois, à partir de cette année.