Les fins de mois sont souvent compliquées pour les personnes à la retraite. Pour vous aider à doper plus rapidement votre future pension, nous vous invitons à opter pour l’une de ces astuces simples et efficaces.
Retraite progressive, surcote, rachat de trimestres… que faire pour compléter ses revenus lorsqu’on est déjà la retraite ? Pour ceux qui préparent leur retraite, ces quelques conseils vont vous être très utiles. D’autant plus que le système de retraite vient de faire l’objet d’une réforme. Le point à travers cet article !
Cibler la surcote
Dans un premier temps, il est vivement recommandé de cibler la surcote pour espérer faire grimper les revenus perçus lors de la retraite. Si vous travaillez par exemple 5 ans, soit 20 trimestres et que vous profitez du taux plein, vous devriez toucher 25 % de plus que votre pension de base. Pour ceux et celles qui sont inscrits chez Agirc-Arrco, cela peut monter jusqu’à 30 % !
Opter pour la retraite progressive
Dans ce cas de figure, vous allez devoir travailler à temps plein entre 40 à 80 %. De cette manière vous pourrez empocher des revenus sans vous débarrasser de votre pension de retraite. Ne coupez jamais vos cotisations ! Pour ceux qui sont à temps plein, la retraite progressive contribue à alléger la cessation d’activités sans craindre de perdre de l’argent.
Racheter des trimestres pour gagner plus à la retraite
Le rachat de trimestres peut parfois être onéreux, mais cette initiative en vaut la peine en vue de réduire les impôts. En parallèle, la pension de retraite augmente et le bénéficiaire profite d’un allègement dans la décote. Encore une solution envisageable si vous projetez de gagner des revenus complémentaires pour votre retraite.
Ne pas négliger la demande de retraite
Au moment de faire votre demande de retraite, pensez bien à surveiller chaque point et soyez le plus précis possible dans votre requête. En cas d’insuffisance, vous risquez de ne pas remplir les exigences requises pour bénéficier d’une majoration de droits. Ces conditions cernent entre autres le nombre d’enfants et la situation familiale. En cas d’accouchement d’un mort-né par exemple, la famille bénéficie d’une majoration de 10 %. Il en va de même pour les parents qui ont des enfants handicapés ou un enfant adoptés, etc.
