Alors que l’inflation continue à frapper le pays de plein fouet, les Français sont appelés à payer les impôts. Et une nouvelle particulièrement compromettante vient de tomber concernant la taxe foncière.
Le contexte lié à la crise en Ukraine entraîne une inflation qui paralyse l’économie française depuis plusieurs mois. Et les mauvaises nouvelles s’accumulent ! Cette fois, c’est la taxe foncière qui menace d’augmenter au cours des prochains mois. Le point à travers cet article !
Depuis le début de l’année, le
Taxe foncière : la situation se dégrade
quotidien des Français est complètement chamboulé. Entre la montée des prix des PPN, de l’énergie et la baisse du pouvoir d’achat, les taxes n’ont jamais été aussi lourdes ! Aux dernières nouvelles la taxe foncière va faire l’objet d’une augmentation, au grand désarroi de 32 millions de Français. À titre de rappel, la taxe est calculée en fonction de la valeur cadastrale du bien.
Depuis 2018, la taxe foncière ne cesse d’augmenter d’une année à l’autre. Durant le premier mandat d’Emmanuel Macron, elle a subi une hausse de 11,4 %. Un taux conséquent lorsqu’on s’en tient à l’évolution de la courbe du SMIC. L’épidémie de Coronavirus associée à la guerre ukrainienne n’a fait qu’aggraver la situation.
L’augmentation diffère suivant les communes
Il ne faut pas oublier que la taxe foncière varie d’une collectivité à l’autre. Qu’il s’agisse de département, de commune ou d’intercommunalité. Seule la date de paiement reste inchangée. En effet, il a lieu chaque année en automne. Pour calculer la valeur de la taxe, le fisc prend en compte la situation du contribuable au 1er janvier.
Même si la procédure n’a pas changé, la hausse va cependant différer d’une commune à une autre. À Tours, Strasbourg et Dijon par exemple, elle a augmenté respectivement de 15,5 %, 12,6 % et 5 %. Cette variation tient-elle compte de la concentration de la population ? Dans tous les cas, les communes moins impactées par cette augmentation peuvent s’estimer heureuses !