TPMP : un chroniqueur phare de l’émission interpellé par le FBI : « une dizaine de flics nous saute dessus »

Mercredi dernier sur le plateau de « Touche pas à mon poste », un chroniqueur phare de l’émission a fait savoir qu’il a été interpellé par le FBI. On vous raconte tout !

Jean-Michel Maire a créé la surprise cette semaine sur le plateau de Touche pas à mon poste. Devant les caméras de C8, le chroniqueur s’est livré sur la fois où il a été arrêté par… le FBI. Le point à travers cet article !

TPMP : une émission qui cartonne !

S’il y a bien une émission qui cartonne sur C8, c’est TPMP. Le weekend, Mathieu Delormeau prend le relais aux commandes de TPMP People. Un rendez-vous également très attendu par les téléspectateurs de la huitième chaîne. Bref, difficile de faire l’impasse sur le programme à succès présenté par Cyril Hanouna! Au cours de la campagne présidentielle, des candidats à l’Elysée ont accepté de participer au débat sur le plateau du show.

C’est notamment le cas de Jean-Luc Mélenchon, Éric Zemmour et Marine Le Pen. Malheureusement, l’émission politique n’a pas vraiment fait l’unanimité auprès du public. Dans les colonnes du Parisien, Patrick Cohen n’a pas hésité à dézinguer le concept du programme. Et il ne s’est pas montré très tendre avec Baba et son équipe.

Jean-Michel Maire arrêté par le FBI à l’aéroport

Dans les colonnes du magazine, Patrick Cohen dénonce : « Chez Cyril Hanouna, tout est au service du clash… Je suis critique sur la façon dont certains thèmes sont abordés à l’antenne, pas de contrôle journalistique ». Mercredi dernier, ce fut au tour de Jean-Michel Maire de faire parler de lui. Il s’est notamment livré sur sa vie privée. Décidément, le collègue de Baba a eu des problèmes avec le FBI.

De retour de l’US Open, le chroniqueur fait face à une désagréable surprise. À son arrivée à l’aéroport, les choses ne se passent pas comme prévu. « Au moment de passer la douane, une dizaine de flics nous tombe dessus… ils sont armés jusqu’aux dents (…). En vérifiant nos bagages, ils tombent sur un couteau niché au fond de l’un des sacs », raconte-t-il. Après trois heures sous pression, le chroniqueur et ses amis finissent par être relâchés. Ouf !