Les mauvaises nouvelles ne cessent de s’enchaîner avec cette crise sans précédent. Un aliment très apprécié des Français fait actuellement l’objet d’une grosse pénurie.
Après l’huile de tournesol et la moutarde, un autre aliment que l’on consomme tous au quotidien est menacé de pénurie dans les supermarchés. Le point à travers cet article !
Inflation : quotidien compliqué à l’approche des fêtes de Noël
A l’approche des fêtes de fin d’année, de nombreux Français sont obligés de se serrer la ceinture en raison de l’inflation et de la baisse du pouvoir d’achat. Avec la hausse du prix du carburant ces derniers mois, les factures de gaz et d’électricité ont explosé. Sans oublier la flambée des prix des produits alimentaires à l’instar de la viande. Mais ce n’est pas tout ! Plusieurs produits désertent progressivement les rayons des supermarchés. Bref, le quotidien des Français n’a jamais été aussi chamboulé !
Un autre aliment menacé de pénurie
Alors que la santé financière des familles française n’a jamais été aussi mal en point, France Info vient d’annoncer la pénurie éventuelle d’un autre produit essentiel du quotidien. Il s’agit des œufs qui ont déjà fait l’objet d’une hausse de prix de 50% à en croire le responsable de système U, Dominique Schelcher, qui s’est entretenu auprès de nos confrères.
La grippe aviaire qui a provoqué l’abattage de plusieurs volailles afin d’éradiquer l’épidémie est en partie à l’origine de cette pénurie. Les producteurs ont perdu une partie de leur bétail. Depuis le mois de juillet dernier, ils ont abattu plus de 700 000 poules. La filière continue de traverser une crise sans précédent.
« A la suite d’une accalmie cet été, la situation s’est aggravée depuis la rentrée avec plusieurs tribus confirmées en élevage », rapporte le syndicat national des industriels et professionnels de l’œuf (SNIPO) au micro de BFMTV. Une autre raison explique les raisons de cette pénurie au niveau des supermarchés.
L’inflation n’épargne pas non plus le domaine céréalier. Il faut savoir que les poules se nourrissent de céréales pour leur survie. Forcément, le coût de revient explose. A cela s’ajoute la flambée des prix des matières premières utilisées pour le conditionnement et les frais de transport.
