Voici ce qu’elle encaisse à la CAF après avoir donné naissance à son 13ème enfant, c’est fou !

Cheryl Prudham est une mère de famille non active qui encaisse chaque année 50 000 € en allocations familiales. De quoi susciter l’incompréhension sur la Toile.

Alors qu’elle attend son 13e enfant, cette mère de famille encaisse une somme d’argent conséquente à chaque fin de mois. De quoi créer le bad buzz sur les réseaux sociaux.

Une mère sans emploi avec 13 enfants issus de 4 pères différents

Outre ses nombreux enfants, Cheryl Prudham a partagé sa vie avec trois hommes différents. Aujourd’hui, la mère de famille a trouvé refuge dans les bras de Lee Bell dont le courage force l’admiration. En effet, il n’a pas eu peur d’assurer le rôle de beau-père de tous ces enfants qui ne sont pas le sien. D’ailleurs, le couple a accueilli un 13e enfant supplémentaire.

Cette famille qui est loin d’être comme les autres est scrutée de près par les journalistes. La presse ne cesse de redoubler d’efforts pour tenter de décrocher un entretien avec les membres de la tribu. Leurs faits et gestes sont de ce fait scrutés de près.

Des allocations familiales ahurissantes, la Toile sous le choc !

Très vite, les internautes ont attribué un surnom à la mère de famille : la reine des avantages. En effet, Cheryl Prudham encaisse chaque mois un joli pactole grâce aux allocations sociales, soit environ 350 € par enfants. Ce qui équivaut tout de même à 50.000 € par an. Soit l’équivalent de ce que touche un cadre supérieur ! De quoi susciter l’indignation sur la Toile. Meme si Cheryl ne travaille pas, il ne faut pourtant pas oublier que prendre soin de 12 enfants n’est pas chose facile !

La principale intéressée est consciente de la polémique qu’elle suscite. A ce propos, elle souligne : « Vous savez, je n’estime pas les enfants comme un moyen de revenu. Mais si je peux profiter des aides de l’Etat, je les accepterais volontiers. Je comprend que ça vexe ceux qui travaillent 40h par semaine mais je men fous ». Aujourd’hui, une pétition a été lancée à son encontre pour qu’elle ne touche plus ces allocations. Malgré plus de 15 800 signatures, cette initiative a été sans conséquence.