Le dernier épisode de « Zone interdite » a encore suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. Retour sur ce passage surréaliste qui a indigné les internautes !
Le weekend dernier, les internautes sont nombreux à avoir partagé leur mécontentement à la suite d’un documentaire proposé par Zone Interdite sur M6. Un reportage qui met en lumière des propriétaires indignés face à des squatteurs protégés par la législation.
Des propriétaires face à l’injustice
Marie et Alexandre ont dépensé l’ensemble de leurs épargnes dans un garage qui a été réaménagé en maison d’habitation. Malheureusement, le couple ne touche plus de loyer depuis 2020. Une situation qui est devenue insupportable pour les deux tourtereaux désormais endettés.
« Après deux ans de procédure, les proprio sont aux abois car leur crédit tombe chaque mois. Tous les mois, ils doivent débourser des charges et se nourrir », s’indigne l’avocat Benoît Jodel, prêt à tout pour défendre ses clients. Si la cour a finalement approuvé le renvoi des locataires, la trêve hivernale a provoqué une reprogrammation de l’échéance, au grand désarroi de l’huissier, qui, devant la détresse de Marie et de son compagnon, va essayer de résonner les locataires.
« C’est honteux. Les squatteurs sont défendus par la loi… »
Malheureusement, le couple, qui a préféré placer leur argent dans des véhicules plutôt que dans des loyers, vont lui opposer une fin de non-recevoir. Plus tard, ils se sont emportés violemment contre l’officier ministériel venu saisir l’une des voitures des débiteurs. Insulté par les locataires, l’homme de loi est à deux doigts de se faire renverser. Une passage hallucinant qui a beaucoup fait réagir sur Twitter.
Parmi les commentaires, on peut lire : « C’est pas croyable ! Ils occupent illégalement un appartement et l’huissier de justice est dans l’incapacité de faire quoi que ce soit », « C’est honteux. Les squatteurs sont défendus par la loi », « Voilà comment s’installer gratuitement pendant plusieurs années. On rentre de manière illicite et on s’installe » ou encore « Il n’y a qu’en France qu’on peut voir une situation pareille ».